14.2.11

NUit, maRine, De MINuit, coBALT ou MAJOrelle, teinté dE ROUILLE, fer ET autre ACier : bleu. BLEU MAXence







  



 Y'a des bateaux comme ce Maxence qui me lachent pas. Exactement, y'a que celui-ci qui me lache pas.
Alors, traînant comme une vieille algue aux abords des pontons ce dimanche, je me suis
à nouveau, embarquée ( ah mes jeux de mots à mille baballes ) pour quelques clichés.
J'voulais travailler, commencer à travailler un peu plus / mieux sur les floutés. Chaque chose
en son temps, les cocos. J'y suis pas, mais au moins la précision vous explique pourquoi les images ne
sont pas nickels nettes itou itou, ou que la netteté n'a pas été recherchée en central, mais des fois sur un côté, ou pas du tout.



 Ce p'tit chalut, j'l'aaadoooooore. Y'a des clous, de la rouille, des gros trucs qui brillent, des écails de bleu majorelle de partout. Du velours nuités dans ses courbes. Il est fort en gueule, le Maxence. Et y'a ces peps de couleurs, jaunes, rouges, noirs dissiminés. Le chien du patron est énorme. Le patron est énorme. La fille du patron est énorme. Tout est énorme.


 Certainement du à la profondeur de son bleu... mon attrait. Je glandais devant ses bouées. Cherchant que voir. Aucun reflet à priori sur ce flan, alors que la journée était lumineuse. Et v'là que ledit Maxence valse un peu du derrière sur le glapotti rentrant. Et bing, une touche de soleil sur sa première bouée en proue. Et v'là ce que je cherchais. C'est pas subliminale, mais cette bouée qui sombrait sans forme et intérêt dans l'ombre, soudainement se révèle un bien beau miroir.





Je sais bien que vous appréhendais déjà la prochaine série. Mon chéri ( citons-le, c'est la Saint-Valentin ) me décrit souvent, et à raison, comme monomaniaque. Vous êtes prévenus...

Mais dans l'immédiat, on va pas poursuivre avec le Maxence, je vais poursuivre sur le bleu... En espérant que ça plaise... sinon, j'en ai du Maxence encore de caché!













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