14.4.13

26/26 Marseille, le stade, Laulau et "La Touche!"



 14 avril, dimanche. Après un dernier arrêt sur Blancarde, arrivée à Saint-Charles. Quasi 20 degrés. Déjà. Et il n'est pas encore 10 heures. Marseille illumine, et réfléchit de mille couleurs ce matin.




 Arrivée, cours Estienne d'Orves. Super pouvoirs et super accueil au Marengo. Les papys sont tout sourire. La presse affiche les couleurs.











 Au Quinze, du spectacle. Nono, en trés grande forme, Jo, rarement aussi "bien" chapeauté, le fils Orioli, blessé certes, mais au comptoir, au service.








 Et Laulau. Là, calme. Vraiment. Très très calme encore.















 Le Vélodrome. En travaux, mais impressionnant. Heureuse de voir mes impôts... Au-dessus? Mister Eddy. Qu'il smurfe, qu'il vente, ou qu'il se lève, toujours la classe.










 Laulau. Encore calme. Voire, frissant la naïveté de l'enfance, accroché de la sorte, à son drapeau.


 














 Mathilde : notre instant féminin du match. Julien tentant d'hypnothiser sa bière, rebelle à la montée des escaliers. Et, nos trois Quataris, narguant Bébert. Si Monac s'est payé une loge, papa leur av
 ait loué carrément une tribune.










 J'avais prévenu. Laulau n'est pas resté, très très longtemps, si calme. Impossible pour moi de reporter les propos. Restera : "La Touche! La touche!" 



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